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Sécurité: Assahoré Jacques pose la première pierre de la brigade de gendarmerie de Diabo

 Assahoré

Érigée en commune depuis 1985, la localité de Diabo dans le département de Bouaké ne dispose pas encore d'un commissariat de police ni d'une brigade de gendarmerie. Conscient qu'une localité ne peut se développer sans sécurité, le conseil régional de Gbêkê en collaboration avec la mairie de Diabo a décidé de doter la commune de Diabo et sa sous-préfecture d'une brigade de gendarmerie. A cet effet, le Président du conseil régional de Gbêkê, le ministre Jacques Assahoré Konan, a procédé le lundi 8 juillet 2024, à la pose de la première pierre de la brigade de la gendarmerie de Diabo.

''La sécurité des biens et des personnes est une priorité pour le Président Alassane Ouattara. Depuis son avènement, l'indice de sécurité s'est grandement amélioré au point où l'on pourrait le comparer aujourd'hui à celui de certains pays développés. Diabo est une ville qui, longtemps n'a pas eu de poste de gendarmerie, ni de police. Le jeune maire qui est arrivé a eu l'initiative de construire un poste de gendarmerie et nous le Conseil régional avons décidé de l'accompagner et de l'appuyer. Aujourd'hui, c'est la pose de la première pierre de cette brigade'' , a indiqué Assahoré Jacques. '' La politique, c'est l'amélioration des conditions de vie des populations. Tout ce qui ne va pas dans ce sens, n'en est pas une. Si un cadre a des réalisations à faire, qu'ils les apporte à nos parents. S'il y a un bien qu'un cadre se sent capable de réaliser, qu'il le fasse. Au-delà, tout le reste c'est des invectives, c'est la politique politicienne qui ne sert pas nos populations, si ce n'est les diviser. Et nous ne voulons plus de ça dans le Gbêkê, ni à Diabo'', a mis en garde Assahoré Konan Jacques.

Le maire de Diabo, Dieto Marcel est revenu sur l'intérêt d'une brigade de gendarmerie dans sa commune. ''L'idée de construire une brigade de gendarmerie à Diabo trouve son sens dans notre ambition d'élever le niveau de la sécurité ici dans notre localité. Car, vous convenez avec moi que sans securité, rien n'est possible, aucune banque ne peut s'installer, encore moins des magasins et les populations vivront toujours dans la peur et l'inquiétude'', a-t-il estimé.


Alla Kouamé

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